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Nicolas Rey au Furet pour "Un léger passage a vide" - 13 février 2010

Whooz : Nicolas Rey.
ON : Le 13 février 2010 au Furet du Nord de Lille à l’occasion de la parution de « Un léger passage à vide »

Votre Nicolas

La rencontre débat s'est passée d'une manière extrêmement plaisante, animée par Agnès Delbarre de France Bleu Nord, avec un Nicolas Rey en grande forme et une séance de dédicaces qui n’aurait pus mieux se dérouler. L'espace rencontre du Furet était loin d'être rempli, il le sera raisonnablement lors du rendez-vous avec l'écrivain.

La rencontre. Nicolas Rey, charmeur face a Agnès, évoque Valenciennes (comme il aurait cité une autre ville du Nord) comme une destination de rêve pour une liaison, furtive, mais idyllique avec la (belle) journaliste. Il tient là un leitmotiv qui reviendra plusieurs fois dans la conversation qui pourrait se résumer à « rien de nouveau sous le soleil », pour celui qui connaît déjà Nicolas Rey, et qui a suivi, quelque peu, la promo d « Un léger passage à vide », son dernier livre, qui sert ici de base à la rencontre d'aujourd'hui.

Lors de l’entretien il sera évoqué :

- L'importance de son fils dans sa prise de conscience de sa déchéance.

- Son hospitalisation où l'on ne se mélange pas entre affinités trop différentes.

- Lors de cette hospitalisation, l'anecdote de la schizophrène que Nicolas rencontre et qui lui dit que son frère s'appelle « Nicolas Rey ».

Ainsi que le fait que dans ses livres « tout soit vrai » ou que « tout soit faux ».

Et toujours ce numéro de charme où Nicolas excelle. Est-ce pour éviter certaines questions embarrassantes ? Quelles seraient-elles ?

Les questions du publics reviendront sur une anecdote télévisuelle, celle ou Nicolas pris sa canne afin d'envoyer loin son livre alors qu'une mauvaise critique avait été prononcée a son égard dans « Ca balance à Paris » sur Paris Première. Nicolas nous expliquera qu'il lui avait été difficile de ne pas être « aimé » de la chroniqueuse de l'émission, alors que son livre, a l'intérieur de cette même émission, faisait l'unanimité.

Nicolas est il un séducteur ? « Je l’étais » dira t’il, « je l’étais ».

L'affaire Frédéric Mitterrand fut longuement évoquée, particulièrement la chronique que l'écrivain en fit lors du passage de Monsieur Benoît Hamon, porte parole du PS, dans la quotidienne de Pascale Clarck sur France Inter.

En fin d’entretien eût lieu la traditionnelle séance de dédicace, Nicolas Rey se montra généreux avec ses fans. Ses dédicaces ayant pour particularité d’être personnalisé avec créativité par l’écrivain qui visiblement aime ce contact qu’il a avec le public, son public.