Les Forges Obscures acte 1

Whooz : Les Forges Obscures
ON : Trith-Saint-Léger

Les Forges Obscures acte 1
Coup d’essai, coup de maitre

Sébastien et Elodie Lemaire, les fondateurs/coordinateurs/organisateurs (entourés d’une solide équipe de passionnés, et aidé par le service Culturel de la ville de Trith-Saint-Léger) nous l’ont avoué : « Nous avons pris tout ce que nous aimons dans les Salons que nous fréquentons afin de bâtir « Les Forges Obscures » à Trith-Saint-Léger ». C’est peu dire que le couple doit fréquenter avec assiduité Salons et autres rendez-vous littéraires de la Région des Hauts-de-France, on sait qu’ils sont nombreux, car le duo a pris ce qu’il y avait de meilleur dans les lieux qu’ils ont jusque-là fréquenté : casting de choix, coin jeunesse, tables rondes, concours ou questionnaire qualité. S’inspirer de ce qui se fait de mieux, voilà l’un des secrets de la réussite de « l’acte 1 » des « Forges Obscures » de Trith-Saint-Léger. S’inspirer de ce qui se fait de mieux n’est cependant pas le seul secret d’un Salon réussi. Manifestement, « Les Forges » les ont réunis.

Galerie exclusive de l’ensemble des auteurs des Forges Obscures. Très vifs remerciements à ces derniers pour leurs disponibilités.

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« L’art et la culture sont une des dimensions déterminantes dans la marche de l’humanité vers une vie plus riche, plus belle et plus juste ». René Carpentier

Pour la petite histoire, René Carpentier, homme politique décédé en 1997 dans sa 79^ème année, fut maire de Trith de 1971 à 1996. Humaniste, l’homme était connu pour être d’une grande générosité. Le Théâtre des Forges de Trith-Saint-Léger porte son nom.

« Les Forges Obscures » (superbe appellation) tiennent donc leur nom du Théâtre des Forges, lieu de la manifestation. Le terme « Obscure » qualifiant quant à lui le genre abordé par le Salon : Le Polar et ses associés.

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Quelques secrets d’un Salon réussi

La passion. Celle-ci fut communicative. En premier lieu il s’agissait de la passion des Maitres des lieux (les Maitres de Forges ! Donc) : Sébastien et Elodie Lemaire.

De l’alchimie d’un casting de rêve. « Le Polar est une grande famille » a-t-on appris lors de la première table ronde de la journée. Cette dernière fut menée brillamment avec simplicité et rigueur par Aurélie du blog « Des Livres et Moi » (dont elle est la fondatrice)) abordait la place des femmes dans le Polar. « Les Borgia aussi, étaient une grande famille ! » tint à judicieusement remarquer Gaëlle Perrin Guillet. Y a-t-il des problèmes d’égo chez les auteurs de Polars ? Il n’y en avait pas chez les auteurs invités des « Forges Obscures ». D’ailleurs pouvait-il y en avoir avec une Gaëlle Perrin Guillet en marraine de choc de l’événement ou avec un Stéphane Bourgoin en invité de marque ? A ces têtes d’affiche s’ajoutèrent des plumes confirmées, d’autres en devenir, et, quelques « locaux » (dont la traduction espagnole est : « fou » !).

Un libraire expérimenté. Christophe Coquelet de la Librairie des Quatre Chemins de Lille. Son expérience, sa compétence furent des plus utiles pour cette entreprise que fut ce premier Salon.

Le petit plus. Aux abords du Théâtre des Forges, la présence de « Street Frite » (pour ne pas la citer !), une friterie dont on recommandera les burgers et tout particulièrement la qualité de leurs accompagnements.

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Quid du futur ? L’acte 1 des « Forges Obscures », un Salon qui en appelle d’autres, assurément. Des indices nous serons donnés prochainement par le bouche à oreille des auteurs entre eux lors d’autres manifestations littéraires. Ce qui se passa pour les premières éditions des « Mines Noires », le Salon du Polar de Noeux-les-Mines. Voilà tout le mal que l’on souhaite aux « Forges », il parait que c’est en forgeant qu’on devient … grand !

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