Compromis au Colisée de Roubaix

Whooz : Pierre Arditi, Michel Leeb
ON : Colisée de Roubaix

Compromis à Roubaix

Le vendredi 24 janvier à 20h30
et le samedi 25 janvier à 20h00 au Colisée de Roubaix


Communiqué du Colisée de Roubaix
   
PIERRE ARDITI | MICHEL LEEB | STÉPHANE PEZERAT

MISE EN SCÈNE BERNARD MURAT

Le lillois Stéphane Pezerat est parfait en « M. Pignon » de la farce, grain de sel entre Pierre Arditi et Michel Leeb qui s’affrontent dans un duo-duel réjouissant. Une comédie à la fois drôle et mordante.
Deux amis de trente ans dans un appartement vide. L’un, (Pierre Arditi) est un comédien médiocre, l’autre (Michel Leeb) un dramaturge raté. Le premier vend son appartement et a demandé au second d’être présent lors de la signature du compromis, pour rassurer l’acheteur. Car s’il écrit de très mauvaises pièces, il a tout de même un visage rassurant. C’est sa grande qualité. On attend l’acheteur. D’ailleurs, acheteur ou pigeon ? En l’attendant on parle. On se flatte. On se cherche. On se moque. On se taquine. Cela glisse peu à peu. On se blesse en se lançant à la face ce que l’on retient depuis longtemps. Et l’acheteur finit par arriver, il va assister à un règlement de comptes, farcesque mais sans concession, entre les deux amis. Va-t-il en demeurer le spectateur, en devenir l’arbitre ou en être au final la seule victime ? Stéphane Pezerat tient la dragée haute aux deux monstres sacrés que sont Pierre Arditi et Michel Leeb dans cette comédie profonde et pleine de finesse sur l’Amitié. Les dialogues font mouche entre ces trois merveilleux comédiens à la complicité évidente. Tantôt féroces, tantôt hilarants, ils nous promettent une soirée de théâtre exceptionnelle !

Philippe Claudel (auteur) | Nicolas Sire (décors) | Carine Sarfati (costumes) | Laurent Castaingt (lumières) | Benjamin Murat (musiques)


La presse en parle

« Stéphane Pezerat, épatant ! » Télérama

« Philippe Claudel ne cesse de nourrir de sa noirceur ironique ce feu d’artifice de quiproquos, d’intrigues psychologiques, de renversements de situation, de dialogues crépitants... » La Croix

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